Dans cet article, on conseille aux DRH de bien peser les “facteurs de risques” de l’entreprise libérée. Cette forme alternative de management porterait en son sein une nouvelle forme de servitude, médiocratie, jeux politiques internes, désagrégation du dialogue social (…).
Il nous apparait clairement qu’une analyse des processus de libération d’entreprise effectuée avec les lunettes de l’organisation classique ne peut que générer scepticisme ou angoisse.
Notre point de vue : se transformer, se libérer, c’est justement prendre des risques, et les prendre ensemble, autour d’un futur souhaité partagé — bien différent de cet objectif proposé de produire “en définitive, des actionnaires heureux”.
C’est aussi transformer le vocabulaire enfermant de la gestion classique, et partager les bénéfices matériels et immatériels.
Si les DRH ont effectivement leur rôle à jouer, dans les faits tout le monde dans l’organisation est concerné.